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lundi 31 mai 2010
REACTONS DES JOUEURS DE L'EQUIPE DE FRANCE DE FOOT
Bakari Sagna, latéral droit : «Ce n'était pas un match facile. On s'attendait a une grosse entame de leur part. Mais on a réussi à avoir la maîtrise du match et à se trouver. Le but qu'on prend rapidement comme contre le Costa Rica est quelque chose qu'on doit corriger. On a réussi à revenir, il y a donc des choses de positif. On monte en puissance et le travail qu'on a fait depuis quelque temps commence à payer. Les conditions du match faisaient qu'il y avait plus d'engagment de la part des Tunisiens que des Costaricains. Il aurait fallu accélérer dans les 30 derniers mètres.»
Eric Abidal, défenseur central gauche : «On est très mal entré dans le match mais on a su revenir très très vite. Ce sont les petits détails qu'il faut régler. Mais c'est intéressant parce qu'on s'attend à ce genre de match contre l'Afrique du Sud. Le point positif c'est qu'après le but qu'on a pris, on a su réagir et à aller jouer dans leur camp.»
Patrice Evra, latéral gauche et capitaine : «On savait qu'on n'allait pas perdre ce match et on l'a prouvé. On a su revenir après une période de relâchement et à l'arrivée, je suis plutôt content. On n'a pas paniqué et on a continué à jouer notre jeu. Les buts qu'on prend en début de match sont dus à des erreurs de concentration mais on a su rectifier le tir. Notre objectif c'est de ne perdre aucun match d'ici la Coupe du monde et pour l'instant c'est ce qu'on réussit.»
Eric Abidal, défenseur central gauche : «On est très mal entré dans le match mais on a su revenir très très vite. Ce sont les petits détails qu'il faut régler. Mais c'est intéressant parce qu'on s'attend à ce genre de match contre l'Afrique du Sud. Le point positif c'est qu'après le but qu'on a pris, on a su réagir et à aller jouer dans leur camp.»
Patrice Evra, latéral gauche et capitaine : «On savait qu'on n'allait pas perdre ce match et on l'a prouvé. On a su revenir après une période de relâchement et à l'arrivée, je suis plutôt content. On n'a pas paniqué et on a continué à jouer notre jeu. Les buts qu'on prend en début de match sont dus à des erreurs de concentration mais on a su rectifier le tir. Notre objectif c'est de ne perdre aucun match d'ici la Coupe du monde et pour l'instant c'est ce qu'on réussit.»
FRANCE-TUNISIE
Raymond Domenech n'a pas voulu céder au pessimisme après le nul concédé en Tunisie (1-1), dimanche soir. S'il regrette une nouvelle fois «la mise en route difficile» de ses joueurs, le sélectionneur rappelle qu'il ne s'agit «que d'un match de préparation». Son équipe est dans les temps, a-t-il estimé. «Après notre grosse semaine à Tignes, il y a eu un relâchement naturel. C'est normal, c'était prévu. Ce qui compte, c'est ce qu'il y a du 11 juin au 11 juillet.»
Pour le sélectionneur, la différence entre la prestation livrée contre le Costa Rica et celle face à la Tunisie relèverait davantage d'une question de «fraîcheur» que d'«envie». «Ce manque nous a empêché de hausser le rythme de la rencontre», au même titre que la solide «opposition» proposée par les Aigles de Carthage. «Ils nous ont posé des problèmes. Ils nous ont obligés à aller un peu plus loin par rapport à ce qu'on est capable de faire à ce stade de la préparation.»
Pour autant, Raymond Domenech a retenu plusieurs motifs de satisfaction. Le premier concerne le mollet gauche de William Gallas. «Au vu de qu'il a fait ces deux derniers matches, je ne suis pas inquiet. C'est une bonne nouvelle.» Le second renvoie au temps de jeu qu'il a distribué à sept joueurs en deuxième période. «On sait où on veut aller, comment on veut y aller. Il y a des étapes qui se mettent en place, on avance... C'est ce qui compte dans une préparation.»
Pour le sélectionneur, la différence entre la prestation livrée contre le Costa Rica et celle face à la Tunisie relèverait davantage d'une question de «fraîcheur» que d'«envie». «Ce manque nous a empêché de hausser le rythme de la rencontre», au même titre que la solide «opposition» proposée par les Aigles de Carthage. «Ils nous ont posé des problèmes. Ils nous ont obligés à aller un peu plus loin par rapport à ce qu'on est capable de faire à ce stade de la préparation.»
Pour autant, Raymond Domenech a retenu plusieurs motifs de satisfaction. Le premier concerne le mollet gauche de William Gallas. «Au vu de qu'il a fait ces deux derniers matches, je ne suis pas inquiet. C'est une bonne nouvelle.» Le second renvoie au temps de jeu qu'il a distribué à sept joueurs en deuxième période. «On sait où on veut aller, comment on veut y aller. Il y a des étapes qui se mettent en place, on avance... C'est ce qui compte dans une préparation.»
vendredi 28 mai 2010
URUGUAY ,adversaire plus que serieux
L’adversaire de l’équipe de France au Mondial, le 11 juin au Cap (20h30), a montré l’étendue de son potentiel offensif, et c’est Israël qui en a fait les frais. Mercredi au stade du Centenaire de Montevideo, la Celeste a inscrit quatre buts (4-1) à la sélection de Luis Fernandez. Le danger est venu de l’attaquant de l’Atlético Diego Forlan (15e) remplacé en seconde période par son comparse de Botofago Sebastian Abreu (75e, 81e), surnommé « El Loco ».
Avec Forlan et Suarez (Ajax), Oscar Tabarez dispose de deux pistoleros, rompus aux joutes européennes, et Abreu a prouvé qu’il pouvait être un joker capable de mettre le feu dans la défense adverse. « Cette équipe a des éléments devant qui jouent bien et qui peuvent se créer des occasions de but à tout moment, prévient Luis Fernandez. Je connais bien Forlan, Suarez, et Perez (le milieu récupérateur de Monaco), il faudra les prendre très au sérieux. » Car c’est de l’entente entre ses milieux et ses buteurs que l’équipe d’Uruguay pourra menacer la France.
« L’Uruguay aime imposer son rythme »
Ignacio « Nacho » Gonzalez, éphémère Monégasque (2007-2008), arrivé en 2010 dans la formation grecque de Livadiakos, a impressionné par son habilité à trouver ses partenaires de l’attaque. « L’équipe de France devra bloquer ses passeurs, poursuit Fernandez, d’autant qu’avec une défense à trois, le danger peut aussi venir des côtés avec des joueurs qui vont très vite, qui plongent. »
Les Bleus sont prévenus. Il faudra jouer haut, priver l’adversaire de ballons, sevrer les attaquants de munitions. « L’Uruguay aime faire le jeu, imposer le rythme », conclut le technicien français. Bonne nouvelle, la Celeste, avec son plan de jeu en 3-4-1-2, penche vers l’avant, et la défense n’offre pas toute les garanties. La sélection de Tabarez a encaissé 20 buts en 18 matches des éliminatoires. Ça ne s’est pas vu mercredi contre Israël mais comme le dit l’ancien entraîneur du Paris Saint-Germain, « avec la pression, ce ne sera pas forcément la même équipe le 11 juin ». « Il faudra quand même être sérieux pour les battre », lance-t-il en forme de dernier avertissement.
Avec Forlan et Suarez (Ajax), Oscar Tabarez dispose de deux pistoleros, rompus aux joutes européennes, et Abreu a prouvé qu’il pouvait être un joker capable de mettre le feu dans la défense adverse. « Cette équipe a des éléments devant qui jouent bien et qui peuvent se créer des occasions de but à tout moment, prévient Luis Fernandez. Je connais bien Forlan, Suarez, et Perez (le milieu récupérateur de Monaco), il faudra les prendre très au sérieux. » Car c’est de l’entente entre ses milieux et ses buteurs que l’équipe d’Uruguay pourra menacer la France.
« L’Uruguay aime imposer son rythme »
Ignacio « Nacho » Gonzalez, éphémère Monégasque (2007-2008), arrivé en 2010 dans la formation grecque de Livadiakos, a impressionné par son habilité à trouver ses partenaires de l’attaque. « L’équipe de France devra bloquer ses passeurs, poursuit Fernandez, d’autant qu’avec une défense à trois, le danger peut aussi venir des côtés avec des joueurs qui vont très vite, qui plongent. »
Les Bleus sont prévenus. Il faudra jouer haut, priver l’adversaire de ballons, sevrer les attaquants de munitions. « L’Uruguay aime faire le jeu, imposer le rythme », conclut le technicien français. Bonne nouvelle, la Celeste, avec son plan de jeu en 3-4-1-2, penche vers l’avant, et la défense n’offre pas toute les garanties. La sélection de Tabarez a encaissé 20 buts en 18 matches des éliminatoires. Ça ne s’est pas vu mercredi contre Israël mais comme le dit l’ancien entraîneur du Paris Saint-Germain, « avec la pression, ce ne sera pas forcément la même équipe le 11 juin ». « Il faudra quand même être sérieux pour les battre », lance-t-il en forme de dernier avertissement.
1er match du coach d'ISRAEL
Dans le mythique Estadio Centenario où a eu lieu la première finale de Coupe du Monde en 1930, comme dans « son » Parc des Princes, Luis reste inimitable. Debout, la sucette dans la bouche et au plus proche du terrain, le nouveau sélectionneur israélien fait des gestes, parle, harangue, replace, fait à nouveau des signes de la main qui peuvent ressembler à des tics. Après une petite passe d’armes avec le délégué de la FIFA, il reprend son numéro, siffle pour mieux se faire entendre malgré la « Ola » des 60 000 spectateurs.
A la fin du match, même s’il vient de perdre son premier match 4-1, il distribue des clins d’œil aux journalistes français présents et des petites tapes amicales à ses joueurs, qu’il renvoie au décrassage après leur avoir parlé quelques minutes. Mais dans quelle langue ? En français, avec l’aide d’un traducteur et celle de son adjoint. En à peine une dizaine de jours, Luis Fernandez sait déjà se faire comprendre de ses joueurs. Des joueurs qui sont sous le charme du personnage, tout comme l’ensemble de la délégation israélienne.
Luis impressionne son monde parce qu’il connaît déjà tout le monde. Sans vouloir décrier ce qui s’est fait avant en sélection, les dirigeants de la Fédération israélienne de football constatent les changements et les premiers bienfaits de « la méthode Luis ». Plus qu’une méthode, un style.
Discrets ou munis d’armes automatiques comme le soir du match, les hommes des services secrets israéliens n’empêchent pas Luis Fernandez d’être à l’aise, naturel. Le seul entraîneur français à avoir gagné une Coupe d’Europe invite à son hôtel de la Plaza Independienza ses amis uruguayens, des anciens footballeurs qui ont joué en France, comme Ruben Umpierrez ou Carlos Curbelo. Luis reçoit aussi la visite de l’ambassadeur de France après avoir été invité par celui d’Israël.
Mais les mondanités ne l’éloignent jamais du terrain. Le ballon est au centre de toutes ses discussions, quels que soient les interlocuteurs, pour parler d’Israël, de l’Uruguay, de la France, des joueurs, du jeu. La passion est là. Toujours. Intacte. Ce qui tombe bien car Luis Fernandez sait qu’il a devant lui un challenge difficile qui l’attend : qualifier Israël pour le prochain championnat d’Europe.
Prochaine étape pour la sélection de Luis, dimanche, avec un deuxième match amical, au Chili cette fois, pour poursuivre sa revue d’effectif. Il s’attend encore à souffrir. Peu importe, ce qui l’intéresse, c’est que son équipe soit prête le 2 septembre pour le début des éliminatoires. Et Luis y croit.
A la fin du match, même s’il vient de perdre son premier match 4-1, il distribue des clins d’œil aux journalistes français présents et des petites tapes amicales à ses joueurs, qu’il renvoie au décrassage après leur avoir parlé quelques minutes. Mais dans quelle langue ? En français, avec l’aide d’un traducteur et celle de son adjoint. En à peine une dizaine de jours, Luis Fernandez sait déjà se faire comprendre de ses joueurs. Des joueurs qui sont sous le charme du personnage, tout comme l’ensemble de la délégation israélienne.
Luis impressionne son monde parce qu’il connaît déjà tout le monde. Sans vouloir décrier ce qui s’est fait avant en sélection, les dirigeants de la Fédération israélienne de football constatent les changements et les premiers bienfaits de « la méthode Luis ». Plus qu’une méthode, un style.
Discrets ou munis d’armes automatiques comme le soir du match, les hommes des services secrets israéliens n’empêchent pas Luis Fernandez d’être à l’aise, naturel. Le seul entraîneur français à avoir gagné une Coupe d’Europe invite à son hôtel de la Plaza Independienza ses amis uruguayens, des anciens footballeurs qui ont joué en France, comme Ruben Umpierrez ou Carlos Curbelo. Luis reçoit aussi la visite de l’ambassadeur de France après avoir été invité par celui d’Israël.
Mais les mondanités ne l’éloignent jamais du terrain. Le ballon est au centre de toutes ses discussions, quels que soient les interlocuteurs, pour parler d’Israël, de l’Uruguay, de la France, des joueurs, du jeu. La passion est là. Toujours. Intacte. Ce qui tombe bien car Luis Fernandez sait qu’il a devant lui un challenge difficile qui l’attend : qualifier Israël pour le prochain championnat d’Europe.
Prochaine étape pour la sélection de Luis, dimanche, avec un deuxième match amical, au Chili cette fois, pour poursuivre sa revue d’effectif. Il s’attend encore à souffrir. Peu importe, ce qui l’intéresse, c’est que son équipe soit prête le 2 septembre pour le début des éliminatoires. Et Luis y croit.
Euro 2016
La France obtient l’Euro 2016
C’est la France qui a gagné ce vendredi le droit d’organiser l’Euro 2016. La candidature française a battu celles de la Turquie et de l'Italie.
C’est la France qui a gagné ce vendredi le droit d’organiser l’Euro 2016. La candidature française a battu celles de la Turquie et de l'Italie.
jeudi 27 mai 2010
Match FRANCE - COSTA RICA
Raymond Domenech n'a pas pris de nouveau risque inutile avec son défenseur central. Le coup du buggy retourné il y a deux jours à Tignes a suffi. William Gallas est sorti sur ses deux jambes après 45 minutes de jeu face au Costa Rica. Son mollet a tenu et le staff a confirmé que le joueur n'avait ressenti aucune douleur. Pendant la rencontre, il a compensé une activité physique logiquement moindre par un bon placement. Ses rares interventions ont été propres et c'est quand même en première période que les Ticos ont le plus sollicité la défense tricolore. Seul reproche que l'on peut lui faire, l'erreur de timing sur un corner où la tête de Ruiz trouve la barre de Mandanda (34e).
A FOND LA FORME
La bonne nouvelle de cette rencontre, c'est la forme physique de la plupart des Bleus. Entre le stage à Tignes, très physique, les saisons marathon de certains ou l'absence de temps de jeu pour d'autres, on pouvait en douter. Franck Ribéry, intenable sur son côté gauche, celui qu'il préfère, est de ceux-là. Après sa fin de saison difficile, hors et sur le terrain, le Munichois avait envie et ça s'est vu. Yoann Gourcuff, positionné à droite d'un milieu à trois, a également été très actif. Le Bordelais, lui aussi sur la pente descendante ces dernières semaines, retrouve la forme au bon moment. Enfin, Florent Malouda, qui n'aime pourtant pas jouer trop bas, a également montré une belle activité.
HENRY-ANELKA, UN TON EN DESSOUS
Autre interrogation avant cette rencontre, la forme de Thierry Henry. Le capitaine habituel a débuté sur le banc, Raymond Domenech lui préférant Nicolas Anelka. A la pointe de l'attaque tricolore, ni l'un ni l'autre n'ont convaincu. Est-ce parce qu'il y a eu embouteillage au centre dans le jeu? Toujours est-il que le Barcelonais a beaucoup couru mais pour rien. Hormis une frappe, ce n'est pas de lui qu'est venu le danger en seconde période. La bonne nouvelle, c'est qu'il a semblé relativement en forme, compte tenu de son temps de jeu du côté de l'Espagne. En première, Nicolas Anelka n'a pas vraiment fait mieux. Il s'est plusieurs fois emmêlé les pinceaux ou retrouvé hors-jeu. On attend autre chose des deux hommes.
DU RAFRAICHISSANT
Mathieu Valbuena a été retenu dans les 23 pour sa forme, son envie et sa fraîcheur. Raymond Domenech ne le regrette déjà pas. Dans un rôle à la Ribéry 2006, le Marseillais a parfaitement rendu la confiance que le sélectionneur avait placée en lui. Sur la ligne de touche, avant son entrée, il trépignait. Il a mis une minute pour tenter sa chance, cinq pour avoir une vraie occasion et vingt pour inscrire son premier but sous le maillot tricolore. Dans un autre registre, Abou Diaby, qui a remplacé Florent Malouda, a réalisé un dernier quart d'heure plein d'aplomb avec des interventions sans fioriture et deux trois relances bien senties.
A FOND LA FORME
La bonne nouvelle de cette rencontre, c'est la forme physique de la plupart des Bleus. Entre le stage à Tignes, très physique, les saisons marathon de certains ou l'absence de temps de jeu pour d'autres, on pouvait en douter. Franck Ribéry, intenable sur son côté gauche, celui qu'il préfère, est de ceux-là. Après sa fin de saison difficile, hors et sur le terrain, le Munichois avait envie et ça s'est vu. Yoann Gourcuff, positionné à droite d'un milieu à trois, a également été très actif. Le Bordelais, lui aussi sur la pente descendante ces dernières semaines, retrouve la forme au bon moment. Enfin, Florent Malouda, qui n'aime pourtant pas jouer trop bas, a également montré une belle activité.
HENRY-ANELKA, UN TON EN DESSOUS
Autre interrogation avant cette rencontre, la forme de Thierry Henry. Le capitaine habituel a débuté sur le banc, Raymond Domenech lui préférant Nicolas Anelka. A la pointe de l'attaque tricolore, ni l'un ni l'autre n'ont convaincu. Est-ce parce qu'il y a eu embouteillage au centre dans le jeu? Toujours est-il que le Barcelonais a beaucoup couru mais pour rien. Hormis une frappe, ce n'est pas de lui qu'est venu le danger en seconde période. La bonne nouvelle, c'est qu'il a semblé relativement en forme, compte tenu de son temps de jeu du côté de l'Espagne. En première, Nicolas Anelka n'a pas vraiment fait mieux. Il s'est plusieurs fois emmêlé les pinceaux ou retrouvé hors-jeu. On attend autre chose des deux hommes.
DU RAFRAICHISSANT
Mathieu Valbuena a été retenu dans les 23 pour sa forme, son envie et sa fraîcheur. Raymond Domenech ne le regrette déjà pas. Dans un rôle à la Ribéry 2006, le Marseillais a parfaitement rendu la confiance que le sélectionneur avait placée en lui. Sur la ligne de touche, avant son entrée, il trépignait. Il a mis une minute pour tenter sa chance, cinq pour avoir une vraie occasion et vingt pour inscrire son premier but sous le maillot tricolore. Dans un autre registre, Abou Diaby, qui a remplacé Florent Malouda, a réalisé un dernier quart d'heure plein d'aplomb avec des interventions sans fioriture et deux trois relances bien senties.
Question sur le ballon de la FIFA 2010
La question va revenir pendant tout le tournoi. A chaque fois qu'un gardien commettra une erreur. Le nouveau ballon de la Coupe du Monde FIFA est-il, comme l'a défini Hugo Lloris, « une catastrophe » ? Très conservateurs, les gardiens seront toujours les premiers à se plaindre des nouveaux ballons. Trop légers, trop lourds, trop volatiles… Chaque ballon a ses spécificités propres mais le Jabulani, comme ses devanciers, a subi une batterie de tests pour entrer en conformité avec les règles du football. Utilisé depuis 2010 en Coupe de France et lors des matchs officiels de la FIFA, ce ballon a passé les sept tests qualificatifs obligatoires FIFA (rotondité, vélocité, pression, poids, rebond…) avec succès et la marque y a même ajouté des critères supérieurs pour améliorer ce ballon de la Coupe du Monde. Avec notamment un énorme travail en soufflerie.
Thermocollé, le Jabulani d'Adidas n'est plus ce ballon en cuir total à 32 panneaux que nos parents ont connu. Certains le regrettent encore mais le synthétique a outrepassé le cuir, matière vivante et sujette à variation de poids et de texture au cours d'un match. Grâce à ces apports technologiques, les ballons de la Coupe du Monde sont beaucoup plus sphériques que leurs devanciers. Et voilà bien la vraie révolution : le ballon rond est encore plus rond. Concentrés de technologies, les ballons surprendraient les gardiens en raison de leur perfection. Du côté d'Adidas, on se défend d'aller contre les gardiens, d'autant que la marque s'est associée médiatiquement et économiquement avec bon nombre d'entre eux. D'Allemagne, on dit qu'on fait évoluer le ballon en parallèle à l'évolution du jeu et non pas pour permettre aux attaquants de surprendre plus facilement les goals adverses.
Carrasso : « Un ballon de qualité »
Aussi parfait soit-il, ce ballon amène un réel changement. Si les joueurs ne s'en plaignent pas forcément dans la conduite de balle, ils doivent s'adapter dans les frappes. « Il flotte beaucoup, note ainsi Bacary Sagna. Ça peut être un problème pour nous mais une qualité aussi. On a le temps de s'y habituer et d'évaluer les trajectoires. A moi d'être le plus concentré possible pour délivrer les meilleurs centres possibles. Les attaquants peuvent aussi prendre plus de risques avec ce ballon et ça peut devenir un atout. » Ce qui est sûr, c'est que ce ballon flotte mais tourne beaucoup moins que ses prédécesseurs. Steve Mandanda a d'ailleurs pu s'en rendre compte mercredi soir face au Costa Rica. Frappes sur coup-franc ou sur corner, il faut prendre le pli. Car le travail sur la stabilité dans l'air du ballon a été l'un des grands axes de travail d'Adidas. Les nouvelles technologies, avec des rainures sur le ballon, permettent de le stabiliser dans l'air et donc des frappes droites beaucoup plus performantes que par le passé. Mais il faudra changer ses habitudes de frappe.
Lors d'un entraînement spécifique des gardiens à Tignes, Bruno Martini et Fabrice Grange ont ainsi mis un moment pour trouver la bonne façon de centrer le ballon adressé aux trois goals des Bleus. « Il ne tourne pas », pouvait-on entendre. Cédric Carrasso pouvait alors dire à son coach : « Il faut en fait changer le moment de décision sur les sorties. » Pour le Bordelais, il faudra attendre un petit peu plus pour connaître la vraie trajectoire du ballon, plus rapide, moins tournant mais selon lui de qualité. Il faudra juste prendre ses marques avec ce nouvel objet qui ne sera pas forcément celui du scandale. Les Bleus, qui ont plutôt réussi leurs enchaînements et leurs tirs contre le Costa Rica, ne se plaignaient d'ailleurs plus trop. Du moment que la victoire est au bout, le ballon est toujours un ami…
Thermocollé, le Jabulani d'Adidas n'est plus ce ballon en cuir total à 32 panneaux que nos parents ont connu. Certains le regrettent encore mais le synthétique a outrepassé le cuir, matière vivante et sujette à variation de poids et de texture au cours d'un match. Grâce à ces apports technologiques, les ballons de la Coupe du Monde sont beaucoup plus sphériques que leurs devanciers. Et voilà bien la vraie révolution : le ballon rond est encore plus rond. Concentrés de technologies, les ballons surprendraient les gardiens en raison de leur perfection. Du côté d'Adidas, on se défend d'aller contre les gardiens, d'autant que la marque s'est associée médiatiquement et économiquement avec bon nombre d'entre eux. D'Allemagne, on dit qu'on fait évoluer le ballon en parallèle à l'évolution du jeu et non pas pour permettre aux attaquants de surprendre plus facilement les goals adverses.
Carrasso : « Un ballon de qualité »
Aussi parfait soit-il, ce ballon amène un réel changement. Si les joueurs ne s'en plaignent pas forcément dans la conduite de balle, ils doivent s'adapter dans les frappes. « Il flotte beaucoup, note ainsi Bacary Sagna. Ça peut être un problème pour nous mais une qualité aussi. On a le temps de s'y habituer et d'évaluer les trajectoires. A moi d'être le plus concentré possible pour délivrer les meilleurs centres possibles. Les attaquants peuvent aussi prendre plus de risques avec ce ballon et ça peut devenir un atout. » Ce qui est sûr, c'est que ce ballon flotte mais tourne beaucoup moins que ses prédécesseurs. Steve Mandanda a d'ailleurs pu s'en rendre compte mercredi soir face au Costa Rica. Frappes sur coup-franc ou sur corner, il faut prendre le pli. Car le travail sur la stabilité dans l'air du ballon a été l'un des grands axes de travail d'Adidas. Les nouvelles technologies, avec des rainures sur le ballon, permettent de le stabiliser dans l'air et donc des frappes droites beaucoup plus performantes que par le passé. Mais il faudra changer ses habitudes de frappe.
Lors d'un entraînement spécifique des gardiens à Tignes, Bruno Martini et Fabrice Grange ont ainsi mis un moment pour trouver la bonne façon de centrer le ballon adressé aux trois goals des Bleus. « Il ne tourne pas », pouvait-on entendre. Cédric Carrasso pouvait alors dire à son coach : « Il faut en fait changer le moment de décision sur les sorties. » Pour le Bordelais, il faudra attendre un petit peu plus pour connaître la vraie trajectoire du ballon, plus rapide, moins tournant mais selon lui de qualité. Il faudra juste prendre ses marques avec ce nouvel objet qui ne sera pas forcément celui du scandale. Les Bleus, qui ont plutôt réussi leurs enchaînements et leurs tirs contre le Costa Rica, ne se plaignaient d'ailleurs plus trop. Du moment que la victoire est au bout, le ballon est toujours un ami…
mercredi 26 mai 2010
ACTUALITE COUPE DU MONDE DE FOOT
Tim Brown est de plus en plus incertain pour la Cpupe du monde. Le milieu de terrain néo-zélandais va subir une opération d'une épaule, à seulement deux semaines du coup d'envoi de l'épreuve.
Le joueur des Wellington Phoenix s'est fracturé l'épaule droite en première période d'un match amical perdu contre l'Australie (1-2) lundi. Selon la Fédération néo-zélandaise, il devrait se faire opérer jeudi à Auckland et la décision quant à sa participation au Mondial sud-africain sera prise la semaine prochaine. Le joueur a estimé mardi soir que ses chances d'aller en Afrique du Sud étaient à "50-50". La perte de Brown serait un coup dur pour le sélectionneur Ricky Herbert qui en a fait un élément clé de son milieu de terrain. S'il devait déclarer forfait, il serait probablement remplacé par Cole Peverley, qui est sur la liste des réservistes. La Nouvelle-Zélande fait partie du groupe F aux côtés de l'Italie, le Paraguay et la Slovaquie.
En match de préparation à la Coupe du monde 2010, les Etats-Unis ont été battus par la République tchèque (2-4), à East Rutherford. Edu (17e) et Gomez (66e) ont marqué les deux buts US. Sivok (44e), Polak (58e), Fenin (77e), Necid (90+2) leur ont répondu côté tchèque.
Kaka a participé à son premier entraînement avec la sélection brésilienne mardi après-midi à Curitiba en vue du Mondial. La participation de Kaka à l'entraînement laisse supposer que le milieu de terrain sera prêt pour le premier match du Brésil, le 15 juin, contre la Corée du Nord.
Takeshi Okada, le sélectionneur japonais, a toujours l'objectif d'emmener son équipe en demi-finale de la Coupe du monde, malgré les résultats plutôt décevants du Japon ces derniers temps.
"Nous voulons montrer qui nous sommes", a déclaré Okada avant d'embarquer mercredi pour les Alpes suisses, où l'équipe doit poursuivre sa préparation. "Il n'y pas de raison de changer notre objectif. Nous viserons au moins le dernier carré", a-t-il poursuivi.
Okada avait créé la surprise en proposant sa démission mardi, après la défaite de son équipe face à la Corée du Sud (0-2), puis en précisant à ses joueurs que cette offre n'était "qu'à moitié sérieuse". "Je ne pensais pas que ce serait pris aussi sérieusement. Je devrais faire plus attention à ce que je dis", a déclaré Okada. Le Japon a enregistré une série de mauvais résultats dernièrement, dont une lourde défaite (3-0) en avril, face à la Serbie. Au Mondial (11 juin - 11 juillet), le Japon est engagé dans le groupe E avec les Pays-Bas, le Danemark et le Cameroun.
L'Irlande a battu le Paraguay (2-1) dans un match de préparation à la Coupe du monde pour les Sud-Américains. Doyle (7) et Lawrence (39) ont marqué pour les Verts, Barrios (58) pour le Paraguay.
La Grèce a été accrochée par la Corée du Nord (2-2) en match de préparation à la Coupe du monde à laquelle vont participer les deux nations. Katsouranis et Charisteas sont les buteurs grecs contre un doublé de Jong.
Le Nigéria a été accroché par l'Arabie Saoudite (0-0) en match de préparation à la Coupe du monde.
Pour son premier match de préparation à la Coupe du monde, le Cameroun a été tenu en échec (0-0) par la Géorgie, à Lienz, en Autriche.
Le joueur des Wellington Phoenix s'est fracturé l'épaule droite en première période d'un match amical perdu contre l'Australie (1-2) lundi. Selon la Fédération néo-zélandaise, il devrait se faire opérer jeudi à Auckland et la décision quant à sa participation au Mondial sud-africain sera prise la semaine prochaine. Le joueur a estimé mardi soir que ses chances d'aller en Afrique du Sud étaient à "50-50". La perte de Brown serait un coup dur pour le sélectionneur Ricky Herbert qui en a fait un élément clé de son milieu de terrain. S'il devait déclarer forfait, il serait probablement remplacé par Cole Peverley, qui est sur la liste des réservistes. La Nouvelle-Zélande fait partie du groupe F aux côtés de l'Italie, le Paraguay et la Slovaquie.
En match de préparation à la Coupe du monde 2010, les Etats-Unis ont été battus par la République tchèque (2-4), à East Rutherford. Edu (17e) et Gomez (66e) ont marqué les deux buts US. Sivok (44e), Polak (58e), Fenin (77e), Necid (90+2) leur ont répondu côté tchèque.
Kaka a participé à son premier entraînement avec la sélection brésilienne mardi après-midi à Curitiba en vue du Mondial. La participation de Kaka à l'entraînement laisse supposer que le milieu de terrain sera prêt pour le premier match du Brésil, le 15 juin, contre la Corée du Nord.
Takeshi Okada, le sélectionneur japonais, a toujours l'objectif d'emmener son équipe en demi-finale de la Coupe du monde, malgré les résultats plutôt décevants du Japon ces derniers temps.
"Nous voulons montrer qui nous sommes", a déclaré Okada avant d'embarquer mercredi pour les Alpes suisses, où l'équipe doit poursuivre sa préparation. "Il n'y pas de raison de changer notre objectif. Nous viserons au moins le dernier carré", a-t-il poursuivi.
Okada avait créé la surprise en proposant sa démission mardi, après la défaite de son équipe face à la Corée du Sud (0-2), puis en précisant à ses joueurs que cette offre n'était "qu'à moitié sérieuse". "Je ne pensais pas que ce serait pris aussi sérieusement. Je devrais faire plus attention à ce que je dis", a déclaré Okada. Le Japon a enregistré une série de mauvais résultats dernièrement, dont une lourde défaite (3-0) en avril, face à la Serbie. Au Mondial (11 juin - 11 juillet), le Japon est engagé dans le groupe E avec les Pays-Bas, le Danemark et le Cameroun.
L'Irlande a battu le Paraguay (2-1) dans un match de préparation à la Coupe du monde pour les Sud-Américains. Doyle (7) et Lawrence (39) ont marqué pour les Verts, Barrios (58) pour le Paraguay.
La Grèce a été accrochée par la Corée du Nord (2-2) en match de préparation à la Coupe du monde à laquelle vont participer les deux nations. Katsouranis et Charisteas sont les buteurs grecs contre un doublé de Jong.
Le Nigéria a été accroché par l'Arabie Saoudite (0-0) en match de préparation à la Coupe du monde.
Pour son premier match de préparation à la Coupe du monde, le Cameroun a été tenu en échec (0-0) par la Géorgie, à Lienz, en Autriche.
mardi 25 mai 2010
Resultat match de préparation
Argentine-Canada : 5-0
L'Argentine n'a pas tremblé en match de préparation pour le Mondial 2010 face au Canada (5-0). Maxi Rodriguez (16e, 32e), Di Maria (37e), Tevez (64e), Agüero (72e) ont assuré un large à la sélection albiceleste.
L'Argentine n'a pas tremblé en match de préparation pour le Mondial 2010 face au Canada (5-0). Maxi Rodriguez (16e, 32e), Di Maria (37e), Tevez (64e), Agüero (72e) ont assuré un large à la sélection albiceleste.
INFOS SUR GALLAS
Raymond Domenech a trouvé William Gallas "plutôt rassurant" lors de ses derniers entraînements. Mais il n'a pas signé de chèque en blanc au défenseur d'Arsenal quant à sa présence en Afrique du Sud.
"Il va jouer". William Gallas sera présent mercredi à Lens contre le Costa Rica, lors du premier des trois matches de préparation de l'équipe de France à la Coupe du monde. Raymond Domenech l'a confirmé mardi, même si le Gunner ne devrait pas être aligné pendant 90 minutes. Alors qu'il n'a que 40 minutes de football dans les jambes depuis février 2010, en raison de deux blessures au mollet, le défenseur d'Arsenal mène depuis une semaine un combat contre la montre pour être déclaré opérationnel. Il est sur la bonne voie. Sans plus, selon son entraîneur.
"Il va jouer". William Gallas sera présent mercredi à Lens contre le Costa Rica, lors du premier des trois matches de préparation de l'équipe de France à la Coupe du monde. Raymond Domenech l'a confirmé mardi, même si le Gunner ne devrait pas être aligné pendant 90 minutes. Alors qu'il n'a que 40 minutes de football dans les jambes depuis février 2010, en raison de deux blessures au mollet, le défenseur d'Arsenal mène depuis une semaine un combat contre la montre pour être déclaré opérationnel. Il est sur la bonne voie. Sans plus, selon son entraîneur.
vendredi 21 mai 2010
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