Que fait un joueur de football quand il est en plein Mondial ? En dehors des entraînements, causeries ou autres déplacements, surfer sur internet est une de ses préoccupations favorites dans les -nombreux- moments creux de la journée. Coupés du monde dans leur camp retranché de Knysna, les Tricolores, dont la connexion internet est coupée le soir, auront tout le loisir de lire les différentes réactions, analyses et railleries présentes sur la toile, au lendemain du fiasco mexicain. Sites, blogs et réseaux sociaux. Rien n'est laissé de côté. Pour un résultat corrosif. Tour d'horizon.
Un miracle ? «Autant fêter Noël le jour de Pâques»
«Faites entrer l'accusé» annonce Eurosport.fr en référence à l'émission de France Télévisions qui traite des affaires criminelles. C'est le traitement réservé à Raymond Domenech, qui se retrouve «au ban des accusés». Ni plus ni moins. «Tout faux», titre football365 par le biais d'un édito de Patrick Chêne. Le patron du groupe Sporever préfère passer sous silence la déroute des Bleus pour s'adresser directement au futur sélectionneur, Laurent Blanc, qui «a devant lui un chantier qui dépasse les schémas tactiques et les choix de personnes» et dont la tâche première sera de «réécrire une histoire d'amour entre l'équipe de France et son public». Pour l'envoyé spécial du Progrès.fr, il s'agit «d'un gâchis absolu, une sorte de vide sidéral dont le football français risque de ne pas revenir avant longtemps», alors que Sports.fr titre en une de son site : « La France touche le fond». Sur twitter, l'un des réseaux sociaux les plus utilisés, le journaliste de football365.fr, Olivier de Los Bueis, annonce qu'il «faut donner les clés à Gourcuff et l'imposer» alors que le joueur Nicolas Dieuze voit ce parcours comme la «chronique d'une élimination annoncée. Malheureusement, tu récoltes ce que tu sèmes», en référence au sinueux parcours des Bleus depuis plusieurs années. Enfin pour Liberation.fr, il est «donc urgent d'acheter des cierges». L'envoyé spécial fait preuve de réalisme en soulignant que «Les Bleus n'ont plus qu'à espérer un concours de circonstance dont ferait partie, au point où on en est, une victoire face à l'Afrique du Sud mardi. Autant espérer fêter Noël le jour de Pâques.»
Anelka et Ribéry chahutés
Sur son blog Yahoo, Pierre Ménès prend sa plume pour analyser la performance individuelle des Bleus. Sans langue de bois et avec son habituel ton corrosif, le chroniqueur du Canal Football Club revient sur le match de Nicolas Anelka, affublé d'une note de 1/10. Et ça décoiffe, comme toujours. «Quand j'ai commencé à le voir jouer en marchant, j'ai compris : en fait avec Nico, ça va au-delà de la faute professionnelle. Il n'a tout simplement aucun respect pour le maillot bleu. Et c'est juste intolérable», raille Ménès. Même topo au 10Sport où l'attaquant de Chelsea en prend pour son grade. «Nicolas Anelka aime snober les journalistes. Finalement tant mieux car quand il l'ouvre, c'est pour enchaîner les bêtises», écrit le 10. Le portrait au vitriol de la rédaction dévoile toute la rancoeur envers l'attaquant coupable de «deux coup-francs tirés n'importe comment», mais aussi auteur de «sa plus belle prestation» en équipe de France. Ironie quand tu nous tiens. Sur le site, on peut également apercevoir que «Ribéry préfère le melon aux tacos», en référence à l'état d'esprit du Munichois, de plus en plus décrié dans les coulisses. Le natif de Boulogne-sur-Mer est également épinglé par Ménès. Extrait. «Quant on veut être le boss et prendre les clés du camion, il faut juste le mériter en le prouvant d'abord sur le terrain. Ce n'est pas en jouant pour sa gueule et en ne filant le ballon à personne qu'il va y arriver. Une grosse remise en question - et vite, très vite ! - s'impose pour lui.» Ce n'est qu'un début.
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samedi 19 juin 2010
Un problême d'education
Itinéraire d'une équipe pourrie gâtée. Voilà le résumé parfait du Mondial français. Un itinéraire connu d'avance. Menant au mur. Donnant lieu à pléthores de railleries et de moqueries. En 2008, la France était la risée de l'Europe. Deux ans plus tard, son côté pathétique s'est étendu au monde entier. «Nous n'avons pas une grande équipe», reconnaissait Patrice Evra après le fiasco mexicain jeudi soir (0-2). Enfin des paroles censées serait-on tenter d'ajouter. Oui, nous n'avons pas une grande équipe. Pire, nous n'avons pas d'équipe tout court. Aucune flamme ne rejaillit de ce puzzle, de cet assemblage d'individualités toutes aussi calamiteuses les unes que les autres. Aucune volonté, aucune envie de «mouiller le maillot», célèbre expression dans le milieu du foot qui prend tout son sens en visionnant un match de l'équipe de France. Une sorte de «je m'enfoutisme» exacerbé semble s'être emparé de ce groupe sans idée et divisé. Le slogan «on vit ensemble, on meurt ensemble» de 2006 a bien mal vieilli. Aujourd'hui, ce serait plutôt on joue pour soit et advienne que pourra. Résultat, au lieu de tirer tous dans le même sens, les joueurs préfèrent se tirer dans les pattes - à l'image du cas Gourcuff, isolé au sein du groupe et «sacrifié» contre le Mexique -, la jouer solo pour, au final, s'écraser lamentablement.
Naufrage collectif, individuel...
Collectivement, c'est tout simplement le néant. Avec un fond de jeu inexistant, une animation offensive balbutiante et une défense constamment en détresse. Individuellement, c'est le chaos. Entre un Nicolas Anelka ô combien agaçant en raison d'une obstination, désastreuse pour l'équipe, à vouloir dézoner, et surtout à cause d'un manque de conviction flagrant, un Sidney Govou fidèle à lui-même, c'est-à-dire plus spectateur qu'acteur du match ou encore un Franck Ribéry, plus préoccupé par son désir d'être le patron sans en avoir l'étoffe, difficile de ne pas être les dindons de la farce et de simple faire-valoir dans cette Coupe du Monde 2010. Ajoutez à cela un William Gallas trop limité en raison d'une préparation chaotique, un Eric Abidal, jamais le dernier lorsqu'il s'agit de tirer une balle dans le pied aux Bleus et un capitaine, Patrice Evra, loin de montrer l'exemple à l'image de son élimination et de son relâchement total sur l'action qui amène le penalty et donc le deuxième but mexicain, et vous obtenez tous les ingrédients pour un plat immonde. Dans ce naufrage collectif, difficile de trouver des motifs de satisfaction et d'espoirs. Car rappelons-le, la France n'est pas encore éliminée.
Malouda, seul dans le désert
Florent Malouda a été le seul Tricolore à faire véritablement honneur au maillot bleu, en se montrant percutant et disponible. Mais il était bien trop seul. Hugo Lloris a été livré à lui-même, Jérémy Toulalan a tenté de colmater les brèches (trop nombreuses) comme il a pu. Le Lyonnais a le mérite de toujours s'accrocher, de ne jamais rien lâcher. Contrairement à certains. Reste le cas Abou Diaby, si impressionnant face à l'Uruguay et si pataud face à la vivacité des Mexicains. Difficile de jeter la pierre au jeune Gunner, qui ne totalise que trois sélections et participe à sa première grande compétition internationale. Diaby a l'avenir devant lui. Celui de l'équipe de France, en tout cas, ne s'annonce pas grandiose. A moins d'un miracle lors de la dernière journée, les Bleus peuvent déjà préparer leurs valises et commander leurs billets pour un retour prématuré au pays. Avant cela, il reste un match à disputer face à l'Afrique du Sud. Pour sauver ce qui peut encore l'être, pour sauver l'honneur. Mais ces Bleus-là en ont-ils vraiment ?
Naufrage collectif, individuel...
Collectivement, c'est tout simplement le néant. Avec un fond de jeu inexistant, une animation offensive balbutiante et une défense constamment en détresse. Individuellement, c'est le chaos. Entre un Nicolas Anelka ô combien agaçant en raison d'une obstination, désastreuse pour l'équipe, à vouloir dézoner, et surtout à cause d'un manque de conviction flagrant, un Sidney Govou fidèle à lui-même, c'est-à-dire plus spectateur qu'acteur du match ou encore un Franck Ribéry, plus préoccupé par son désir d'être le patron sans en avoir l'étoffe, difficile de ne pas être les dindons de la farce et de simple faire-valoir dans cette Coupe du Monde 2010. Ajoutez à cela un William Gallas trop limité en raison d'une préparation chaotique, un Eric Abidal, jamais le dernier lorsqu'il s'agit de tirer une balle dans le pied aux Bleus et un capitaine, Patrice Evra, loin de montrer l'exemple à l'image de son élimination et de son relâchement total sur l'action qui amène le penalty et donc le deuxième but mexicain, et vous obtenez tous les ingrédients pour un plat immonde. Dans ce naufrage collectif, difficile de trouver des motifs de satisfaction et d'espoirs. Car rappelons-le, la France n'est pas encore éliminée.
Malouda, seul dans le désert
Florent Malouda a été le seul Tricolore à faire véritablement honneur au maillot bleu, en se montrant percutant et disponible. Mais il était bien trop seul. Hugo Lloris a été livré à lui-même, Jérémy Toulalan a tenté de colmater les brèches (trop nombreuses) comme il a pu. Le Lyonnais a le mérite de toujours s'accrocher, de ne jamais rien lâcher. Contrairement à certains. Reste le cas Abou Diaby, si impressionnant face à l'Uruguay et si pataud face à la vivacité des Mexicains. Difficile de jeter la pierre au jeune Gunner, qui ne totalise que trois sélections et participe à sa première grande compétition internationale. Diaby a l'avenir devant lui. Celui de l'équipe de France, en tout cas, ne s'annonce pas grandiose. A moins d'un miracle lors de la dernière journée, les Bleus peuvent déjà préparer leurs valises et commander leurs billets pour un retour prématuré au pays. Avant cela, il reste un match à disputer face à l'Afrique du Sud. Pour sauver ce qui peut encore l'être, pour sauver l'honneur. Mais ces Bleus-là en ont-ils vraiment ?
Aprés la défaite ,les langues se délient
Le vestiaire médusé
Il n'en est pas à sa première «affaire», mais Nicolas Anelka a, pour le coup, franchi la ligne jaune. Déjà critiquable sur ses performances depuis le début du Mondial, le natif de Versailles a ajouté une nouvelle ligne à son statut «d'enfant terrible» du foot français. Pis, il est entré dans une nouvelle dimension. La raison ? Un comportement inexcusable et irrespectueux envers le sélectionneur lors de la mi-temps de France-Mexique jeudi soir. Alors que les joueurs rentraient aux vestiaires, Raymond Domenech a tancé son attaquant sur son placement sur le terrain, lui reprochant d'être partout... sauf à son poste. Des remarques qui n'ont pas plu au joueur de Chelsea. Sa réponse ? Un cinglant et poétique «va te faire enc..., sale fils de p...» aurait fusé envers le patron des Bleus dans un vestiaire médusé et circonspect face à une telle réaction raconte L'Equipe. Surpris et déçu, le sélectionneur aurait répliqué par un laconique «O.K, tu sors» alors qu' Anelka en remettait une couche, un brin provocateur : «Ouais, c'est ça...». Une nouvel exemple de classe dont jouit l'international qui s'était déjà distingué en 2002 en lançant au sélectionneur de l'époque, Jacques Santini: «Je ne veux pas être le remplaçant du remplaçant. Pour que je revienne, il faudra que Santini se mette à genoux.» Du Anelka dans le texte.
Le doigt d'honneur de Gallas
Quelle position adopter face à un tel comportement ? Si les faits sont avérés, nul doute que l'on ne reverra pas l'ancien attaquant du PSG sur la pelouse face à l'Afrique du Sud. Voire même en équipe de France. Connaissant l'homme, pas sûr que cela l'empêche de dormir. Raymond Domenech qualifiera-t-il de «ragots» cette scène auprès des médias ? Où bien se décidera-t-il enfin à avouer la vérité ? A savoir que le climat en équipe de France est tout simplement rongé par les rancoeurs, les amertumes et le manque de respect et de classe de certains joueurs qui sont déconnectés de la réalité. Des hommes qui ont trop vite oublié qu'ils avaient une mission et des devoirs au moment de revêtir le maillot frappé du coq. L'exemplarité en fait partie. Ça, William Gallasa également dû l'oublier. Toujours selon le quotidien, le vice-capitaine des Bleus aurait fait un doigt d'honneur à un journaliste de TF1 après la rencontre de jeudi soir. Encore un bel exemple d'un homme qui portait le brassard de capitaine il n'y a pas si longtemps. Voilà donc l'image que renvoie cette équipe de France aujourd'hui. Des performances proches du néant et des statuts de «stars» décernés à des joueurs qui n'ont de stars que leur compte en banque et leur ego. Mais le Mondial continue... Il reste un match à jouer contre l'Afrique du Sud mardi. Pour sauver un honneur que certains ont déjà perdu.
Il n'en est pas à sa première «affaire», mais Nicolas Anelka a, pour le coup, franchi la ligne jaune. Déjà critiquable sur ses performances depuis le début du Mondial, le natif de Versailles a ajouté une nouvelle ligne à son statut «d'enfant terrible» du foot français. Pis, il est entré dans une nouvelle dimension. La raison ? Un comportement inexcusable et irrespectueux envers le sélectionneur lors de la mi-temps de France-Mexique jeudi soir. Alors que les joueurs rentraient aux vestiaires, Raymond Domenech a tancé son attaquant sur son placement sur le terrain, lui reprochant d'être partout... sauf à son poste. Des remarques qui n'ont pas plu au joueur de Chelsea. Sa réponse ? Un cinglant et poétique «va te faire enc..., sale fils de p...» aurait fusé envers le patron des Bleus dans un vestiaire médusé et circonspect face à une telle réaction raconte L'Equipe. Surpris et déçu, le sélectionneur aurait répliqué par un laconique «O.K, tu sors» alors qu' Anelka en remettait une couche, un brin provocateur : «Ouais, c'est ça...». Une nouvel exemple de classe dont jouit l'international qui s'était déjà distingué en 2002 en lançant au sélectionneur de l'époque, Jacques Santini: «Je ne veux pas être le remplaçant du remplaçant. Pour que je revienne, il faudra que Santini se mette à genoux.» Du Anelka dans le texte.
Le doigt d'honneur de Gallas
Quelle position adopter face à un tel comportement ? Si les faits sont avérés, nul doute que l'on ne reverra pas l'ancien attaquant du PSG sur la pelouse face à l'Afrique du Sud. Voire même en équipe de France. Connaissant l'homme, pas sûr que cela l'empêche de dormir. Raymond Domenech qualifiera-t-il de «ragots» cette scène auprès des médias ? Où bien se décidera-t-il enfin à avouer la vérité ? A savoir que le climat en équipe de France est tout simplement rongé par les rancoeurs, les amertumes et le manque de respect et de classe de certains joueurs qui sont déconnectés de la réalité. Des hommes qui ont trop vite oublié qu'ils avaient une mission et des devoirs au moment de revêtir le maillot frappé du coq. L'exemplarité en fait partie. Ça, William Gallasa également dû l'oublier. Toujours selon le quotidien, le vice-capitaine des Bleus aurait fait un doigt d'honneur à un journaliste de TF1 après la rencontre de jeudi soir. Encore un bel exemple d'un homme qui portait le brassard de capitaine il n'y a pas si longtemps. Voilà donc l'image que renvoie cette équipe de France aujourd'hui. Des performances proches du néant et des statuts de «stars» décernés à des joueurs qui n'ont de stars que leur compte en banque et leur ego. Mais le Mondial continue... Il reste un match à jouer contre l'Afrique du Sud mardi. Pour sauver un honneur que certains ont déjà perdu.
Résultat match FIFA 2010 au 18/06/2010
GROUPE A | Classement | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
DATE | LIEU | RENCONTRE | HEURE | ||||
Ven 11/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | AFRIQUE DU SUD | 1 - 1 | MEXIQUE | ![]() | 16h00 |
Ven 11/06/2010 | à Le Cap | ![]() | URUGUAY | 0 - 0 | FRANCE | ![]() | 20h30 |
Mer 16/06/2010 | à Tshwane/Pretoria | ![]() | AFRIQUE DU SUD | 0 - 3 | URUGUAY | ![]() | 20h30 |
Jeu 17/06/2010 | à Polokwane | ![]() | FRANCE | 0 - 2 | MEXIQUE | ![]() | 20h30 |
Mar 22/06/2010 | à Mangaung/Bloemfontein | ![]() | FRANCE | - | AFRIQUE DU SUD | ![]() | 16h00 |
Mar 22/06/2010 | à Rustenburg | ![]() | MEXIQUE | - | URUGUAY | ![]() | 16h00 |
Groupe B | Classement | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
DATE | LIEU | RENCONTRE | HEURE | ||||
Sam 12/06/2010 | à Port Elizabeth | ![]() | COREE DU SUD | 2 - 0 | GRECE | ![]() | 13h30 |
Sam 12/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | ARGENTINE | 1 - 0 | NIGERIA | ![]() | 16h00 |
Jeu 17/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | ARGENTINE | 4 - 1 | COREE DU SUD | ![]() | 13h30 |
Jeu 17/06/2010 | à Mangaung/Bloemfontein | ![]() | GRECE | 2 - 1 | NIGERIA | ![]() | 16h00 |
Mar 22/06/2010 | à Durban | ![]() | NIGERIA | - | COREE DU SUD | ![]() | 20h30 |
Mar 22/06/2010 | à Polokwane | ![]() | GRECE | - | ARGENTINE | ![]() | 20h30 |
Groupe C | Classement | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
DATE | LIEU | RENCONTRE | HEURE | ||||
Sam 12/06/2010 | à Rustenburg | ![]() | ANGLETERRE | 1 - 1 | ETATS-UNIS | ![]() | 20h30 |
Dim 13/06/2010 | à Polokwane | ![]() | ALGERIE | 0 - 1 | SLOVENIE | ![]() | 13h30 |
Ven 18/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | SLOVENIE | 2 - 2 | ETATS-UNIS | ![]() | 16h00 |
Ven 18/06/2010 | à Le Cap | ![]() | ANGLETERRE | 0 - 0 | ALGERIE | ![]() | 20h30 |
Mer 23/06/2010 | à Port Elizabeth | ![]() | SLOVENIE | - | ANGLETERRE | ![]() | 16h00 |
Mer 23/06/2010 | à Tshwane/Pretoria | ![]() | ETATS-UNIS | - | ALGERIE | ![]() | 16h00 |
Groupe D | Classement | ||||||
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DATE | LIEU | RENCONTRE | HEURE | ||||
Dim 13/06/2010 | à Tshwane/Pretoria | ![]() | SERBIE | 0 - 1 | GHANA | ![]() | 16h00 |
Dim 13/06/2010 | à Durban | ![]() | ALLEMAGNE | 4 - 0 | AUSTRALIE | ![]() | 20h30 |
Ven 18/06/2010 | à Port Elizabeth | ![]() | ALLEMAGNE | 0 - 1 | SERBIE | ![]() | 13h30 |
Sam 19/06/2010 | à Rustenburg | ![]() | GHANA | - | AUSTRALIE | ![]() | 16h00 |
Mer 23/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | GHANA | - | ALLEMAGNE | ![]() | 20h30 |
Mer 23/06/2010 | à Nelspruit | ![]() | AUSTRALIE | - | SERBIE | ![]() | 20h30 |
Groupe E | Classement | ||||||
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DATE | LIEU | RENCONTRE | HEURE | ||||
Lun 14/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | PAYS-BAS | 2 - 0 | DANEMARK | ![]() | 13h30 |
Lun 14/06/2010 | à Mangaung/Bloemfontein | ![]() | JAPON | 1 - 0 | CAMEROUN | ![]() | 16h00 |
Sam 19/06/2010 | à Durban | ![]() | PAYS-BAS | - | JAPON | ![]() | 13h30 |
Sam 19/06/2010 | à Tshwane/Pretoria | ![]() | CAMEROUN | - | DANEMARK | ![]() | 20h30 |
Jeu 24/06/2010 | à Le Cap | ![]() | CAMEROUN | - | PAYS-BAS | ![]() | 20h30 |
Jeu 24/06/2010 | à Rustenburg | ![]() | DANEMARK | - | JAPON | ![]() | 20h30 |
Groupe F | Classement | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
DATE | LIEU | RENCONTRE | HEURE | ||||
Lun 14/06/2010 | à Le Cap | ![]() | ITALIE | 1 - 1 | PARAGUAY | ![]() | 20h30 |
Mar 15/06/2010 | à Rustenburg | ![]() | NOUVELLE-ZELANDE | 1 - 1 | SLOVAQUIE | ![]() | 13h30 |
Dim 20/06/2010 | à Mangaung/Bloemfontein | ![]() | SLOVAQUIE | - | PARAGUAY | ![]() | 13h30 |
Dim 20/06/2010 | à Nelspruit | ![]() | ITALIE | - | NOUVELLE-ZELANDE | ![]() | 16h00 |
Jeu 24/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | SLOVAQUIE | - | ITALIE | ![]() | 16h00 |
Jeu 24/06/2010 | à Polokwane | ![]() | PARAGUAY | - | NOUVELLE-ZELANDE | ![]() | 16h00 |
Groupe G | Classement | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
DATE | LIEU | RENCONTRE | HEURE | ||||
Mar 15/06/2010 | à Port Elizabeth | ![]() | COTE D IVOIRE | 0 - 0 | PORTUGAL | ![]() | 16h00 |
Mar 15/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | BRESIL | 2 - 1 | COREE DU NORD | ![]() | 20h30 |
Dim 20/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | BRESIL | - | COTE D IVOIRE | ![]() | 20h30 |
Lun 21/06/2010 | à Le Cap | ![]() | PORTUGAL | - | COREE DU NORD | ![]() | 13h30 |
Ven 25/06/2010 | à Durban | ![]() | PORTUGAL | - | BRESIL | ![]() | 16h00 |
Ven 25/06/2010 | à Nelspruit | ![]() | COREE DU NORD | - | COTE D IVOIRE | ![]() | 16h00 |
Groupe H | Classement | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
DATE | LIEU | RENCONTRE | HEURE | ||||
Mer 16/06/2010 | à Nelspruit | ![]() | HONDURAS | 0 - 1 | CHILI | ![]() | 13h30 |
Mer 16/06/2010 | à Durban | ![]() | ESPAGNE | 0 - 1 | SUISSE | ![]() | 16h00 |
Lun 21/06/2010 | à Port Elizabeth | ![]() | CHILI | - | SUISSE | ![]() | 16h00 |
Lun 21/06/2010 | à Johannesburg | ![]() | ESPAGNE | - | HONDURAS | ![]() | 20h30 |
Ven 25/06/2010 | à Tshwane/Pretoria | ![]() | CHILI | - | ESPAGNE | ![]() | 20h30 |
Ven 25/06/2010 | à Mangaung/Bloemfontein | ![]() | SUISSE | - | HONDURAS | ![]() | 20h30 |
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